<strong>Rouyn-Noranda, le 14 janvier 2019 </strong>– La Chambre immobilière de l’Abitibi-Témiscamingue vient de publier le bilan de l’année 2018 du marché immobilier résidentiel des agglomérations de Val-d’Or et de Rouyn-Noranda, établi d’après les statistiques de la base de données provinciale Centris des courtiers immobiliers. Ainsi, 416 ventes résidentielles ont été réalisées dans l’agglomération de Val-d’Or en 2018, un niveau d’activité identique à celui de l’année précédente, et 427 ventes ont été recensées dans l’agglomération de Rouyn-Noranda, soit un repli de 5 %.

<a href= »http://www.apciq.ca/pdf/bar/201804-bar-province.pdf#page=29″><strong>Val-d’Or</strong></a>

Par catégories de propriétés, 358 maisons unifamiliales (+1 %), 11 copropriétés (une de plus que l’année dernière) et 46 plex (-10 %) ont changé de mains en 2018.

Le nombre de propriétés à vendre a légèrement diminué l’an dernier (-1 %), alors qu’en moyenne, 244 propriétés résidentielles étaient inscrites au système Centris.

Le prix médian des unifamiliales a augmenté de 7 % par rapport à 2017, la moitié des maisons s’étant vendues à plus de 235 000 $.

« Le marché revient vers l’équilibre, une bonne nouvelle en soi pour la région », souligne Hélène Charette, directrice générale de la Chambre immobilière de l’Abitibi-Témiscamingue et porte-parole de la Fédération des chambres immobilières du Québec (FCIQ) pour cette région. « Les délais de vente moyens atteignent leurs plus bas niveaux en trois ans », ajoute la porte-parole. Les maisons se sont vendues, en moyenne, en 117 jours dans l’agglomération.

<a href= »http://www.apciq.ca/pdf/bar/201804-bar-province.pdf#page=19″><strong>Rouyn-Noranda</strong></a>

La diminution des ventes de 5 % survient après deux années de forte augmentation du niveau d’activité. « Les ventes se sont maintenues tout près du niveau record enregistré l’année dernière », souligne Hélène Charette.

Le prix médian des unifamiliales a augmenté de 11 %, à 228 287 $, au moment où la moitié des plex se sont vendus à plus de 265 000 $.

L’offre de propriétés s’est fixée en moyenne à 234 inscriptions en vigueur.

Les conditions du marché sont en retour vers l’équilibre, tant pour le segment de l’unifamiliale que pour celui des plex. Le délai de vente est demeuré presque inchangé pour l’unifamiliale (102 jours) et a diminué de 19 jours pour les plex (à 78 jours).

<strong>Sommet inégalé des ventes résidentielles au Québec en 2018</strong>

La Fédération des chambres immobilières du Québec (FCIQ) vient de publier le bilan 2018 du marché immobilier résidentiel de la <a href= »http://www.apciq.ca/pdf/bar/201804-bar-province.pdf#page=5″>province de Québec</a>, établi d’après les statistiques de la base de données provinciale Centris des courtiers immobiliers. Ainsi, 86 557 ventes ont été réalisées au cours de l’année 2018, soit une hausse de 5 % par rapport à 2017. Il s’agissait d’une quatrième hausse consécutive et d’un nouveau record de ventes qui surpassait ainsi le sommet enregistré en 2017 (82 541 transactions).

« Une fois de plus, l’année s’est terminée sur une excellente note, avec 18 858 transactions conclues au quatrième trimestre de 2018 sur le marché immobilier résidentiel québécois, soit 6 % de plus qu’à la même période en 2017 », souligne Yanick Desnoyers, directeur du service Analyse du marché de la FCIQ. « Il s’agissait du meilleur résultat en 18 ans pour un quatrième trimestre », ajoute-t-il.

Voici les principaux faits saillants de 2018 :

<strong>Ventes</strong>
<ul>
<li>La copropriété s’est distinguée par une hausse de 13 % des ventes, tandis que l’unifamiliale et les plex ont présenté des gains plus modestes de 3 % chacun.</li>
<li>Parmi les régions métropolitaines, celles de <a href= »http://www.apciq.ca/pdf/bar/201804-bar-province.pdf#page=9″>Saguenay</a> et de <a href= »http://www.apciq.ca/pdf/bar/201804-bar-province.pdf#page=6″>Gatineau</a> se sont démarquées avec des augmentations des ventes de 11 % et de 7 % respectivement. Des hausses notables ont été enregistrées à <a href= »http://www.apciq.ca/pdf/bar/201804-bar-province.pdf#page=10″>Sherbrooke</a> (+6 %), à <a href= »http://www.apciq.ca/pdf/bar/201804-bar-province.pdf#page=7″>Montréal</a> (+5 %) et à <a href= »http://www.apciq.ca/pdf/bar/201804-bar-province.pdf#page=8″>Québec</a> (+4 %), tandis que l’activité a fléchi du côté de la région métropolitaine de <a href= »http://www.apciq.ca/pdf/bar/201804-bar-province.pdf#page=11″>Trois-Rivières</a> (-1 %).</li>
<li>Dans les plus petits centres urbains, les agglomérations de <a href= »http://www.apciq.ca/pdf/bar/201804-bar-province.pdf#page=31″>Matane</a> (+30 %), de <a href= »http://www.apciq.ca/pdf/bar/201804-bar-province.pdf#page=31″>Mont-Laurier</a> (+29 %), de <a href= »http://www.apciq.ca/pdf/bar/201804-bar-province.pdf#page=31″>Cowansville</a> (+19 %), de <a href= »http://www.apciq.ca/pdf/bar/201804-bar-province.pdf#page=18″>Rivière-du-Loup</a> (+17 %) et de <a href= »http://www.apciq.ca/pdf/bar/201804-bar-province.pdf#page=22″>Saint-Hyacinthe</a> (+15 %) sont celles qui ont affiché les plus fortes croissances des ventes.</li>
</ul>
<strong>Prix</strong>
<ul>
<li>Pour une deuxième année consécutive, la progression des prix médians a été soutenue à l’échelle provinciale. Ainsi, tant le prix médian des unifamiliales que celui des copropriétés a augmenté de 3 %, pour atteindre respectivement 250 000 $ et 237 000 $.</li>
<li>Le prix médian des unifamiliales de l’agglomération de <a href= »http://www.apciq.ca/pdf/bar/201804-bar-province.pdf#page=31″>Rawdon</a> a bondi de 12 %, à 169 900 $. Les agglomérations de <a href= »http://www.apciq.ca/pdf/bar/201804-bar-province.pdf#page=19″>Rouyn-Noranda</a> et de <a href= »http://www.apciq.ca/pdf/bar/201804-bar-province.pdf#page=16″>Mont-Tremblant</a> ont toutes deux vu le prix médian de leurs unifamiliales progresser de 11 %, à 228 288 $ et 271 250 $ respectivement.</li>
<li>Pour la copropriété, l’agglomération de Mont-Tremblant trône une fois de plus au sommet du palmarès, avec une croissance de 12 % et un prix médian de 255 000 $. À l’inverse, la région métropolitaine qui a enregistré la plus faible augmentation du prix médian des copropriétés est celle de Québec (+1 %).</li>
</ul>
<strong>Nombre de propriétés à vendre</strong>
<ul>
<li>De janvier à décembre 2018, on comptait en moyenne 64 289 inscriptions en vigueur sur le système Centris, soit une baisse de 9 % par rapport à 2017. Il s’agit du plus faible niveau enregistré depuis 2011.</li>
<li>L’inventaire a diminué dans toutes les régions du Québec, à l’exception de celles de <a href= »http://www.apciq.ca/pdf/bar/201804-bar-province.pdf#page=31″>La Tuque</a> (+25 %), de <a href= »http://www.apciq.ca/pdf/bar/201804-bar-province.pdf#page=20″>Sainte-Adèle</a> (+15 %) et de <a href= »http://www.apciq.ca/pdf/bar/201804-bar-province.pdf#page=25″>Sept-Îles</a> (+5 %).</li>
</ul>
Enfin, les délais de vente à l’échelle de la province se sont raccourcis comparativement à un an plus tôt : il fallait compter en moyenne 107 jours (-5 jours) pour vendre une unifamiliale, 111 jours (-13 jours) pour une copropriété et 98 jours (-4 jours) pour une petite propriété à revenus.

<strong>À propos de la Chambre immobilière de l’Abitibi-Témiscamingue </strong>

La Chambre immobilière de l’Abitibi-Témiscamingue regroupe 84 courtiers immobiliers couvrant un territoire de plus de 150 000 km<sup>2</sup>. La Chambre s’est donné comme mission de promouvoir le courtier comme intermédiaire indispensable à toute transaction immobilière, et ce, depuis près de 30 ans. Elle veille également à ce que ses membres se conforment à un code d’éthique et aux nombreux règlements, en plus d’améliorer leurs compétences par la tenue de diverses formations dans le but d’offrir en tout temps un service professionnel aux consommateurs. La liste complète des membres et des propriétés est disponible à l’adresse <a href= »http://www.ciat.qc.ca/ »>www.ciat.qc.ca/</a>.

<strong>À propos de la Fédération des chambres immobilières du Québec </strong>

La Fédération des chambres immobilières du Québec est une association à but non lucratif regroupant les 11 chambres immobilières de la province, de même que près de 13 000 courtiers immobiliers membres. Sa mission est de soutenir les chambres immobilières du Québec dans le but de défendre, protéger et promouvoir les intérêts des courtiers immobiliers en offrant des services en matière de pratiques professionnelles, d’affaires publiques et d’analyse de marché. La FCIQ est guidée par une approche axée sur la collaboration et le partage des ressources.

<strong>À propos de Centris </strong>

<a href= »https://www.centris.ca/ »>Centris.ca</a> est le site Web de l’industrie immobilière québécoise destiné aux consommateurs, où toutes les propriétés à vendre par les courtiers immobiliers au Québec sont réunies à la même adresse. La Société Centris offre aux intervenants du secteur de l’immobilier l’accès à des données immobilières et à une vaste gamme d’outils technologiques. Centris gère aussi le système de collaboration utilisé par plus de 13 000 courtiers immobiliers québécois.
<p style= »text-align: center; »>-30-</p>
Pour des statistiques plus détaillées sur chacune des régions de la province, consultez le <a href= »http://www.apciq.ca/pdf/bar/201804-bar-province.pdf »>Baromètre FCIQ</a>.

<strong> </strong><strong>Renseignements : </strong>

Hélène Charrette
Directrice générale
Chambre immobilière de l’Abitibi-Témiscamingue
Téléphone : 819 762-1777
<a href= »mailto:info@ciat.qc.ca »>info@ciat.qc.ca</a>