Communiqué de presse
Statistiques de ventes résidentielles Centris – 1er trimestre de 2022

L’Île-des-Sœurs, le 11 avril 2022 – L’Association professionnelle des courtiers immobiliers du Québec (APCIQ) vient de publier les plus récentes statistiques du marché immobilier résidentiel de la province de Québec, établies d’après la base de données provinciale Centris des courtiers immobiliers.

L’activité dans le marché immobilier de la province a continué de ralentir au premier trimestre de 2022, avec un nombre de ventes résidentielles s’établissant à 25 845, soit une diminution de 17 % comparée à la même période en 2021. Bien que ce ralentissement soit notable lorsque comparé à l’activité transactionnelle exceptionnelle des deux dernières années, il demeure plus élevé que la moyenne historique des premiers trimestres avant le choc de la pandémie, qui se situait plus près de 20 000 transactions.

« Les acheteurs ont encore été très actifs sur le marché au premier trimestre de 2022, anticipant la hausse des taux d’intérêt et magasinant “tous azimuts”, avec une préapprobation bancaire et un taux hypothécaire réservé en poche », remarque Charles Brant, directeur du Service de l’analyse du marché. « Ce regain de demandes a contribué à faire chuter davantage les inscriptions en vigueur. Il en résulte une baisse généralisée et tendancielle du niveau de transactions et un regain de pression élevée sur les prix. Précisons que de nombreux acheteurs n’ont pas pu conclure de transaction malgré leurs efforts, faute d’un nombre suffisant de propriétés sur le marché à des prix encore accessibles », ajoute-t-il. « Alors que le niveau des prix est quelque peu biaisé par une plus forte proportion de propriétés transigées dans les gammes de prix élevés, en comparaison à l’année dernière, la hausse du prix des résidences à près de 21 % au 1er trimestre, pour l’ensemble du Québec, est difficilement soutenable, et ce, plus spécifiquement pour les régions du sud de la province. Les ménages et, surtout, les investisseurs seront bientôt confrontés aux vents contraires d’une hausse sensible des taux d’intérêt au cours des prochains mois, justifiée par un contexte inflationniste bien ancré qui gruge de plus en plus le pouvoir d’achat et la confiance des ménages ou encore le rendement des investisseurs », conclut-il.

Ventes

  • Par catégorie de propriétés, les tendances au repli ont été relativement comparables. Les unifamiliales ont connu le déclin le plus important (-18 %), suivi par les copropriétés (-16 %) et par les petits immeubles à revenus (-14 %).
  • Toutes les régions métropolitaines ont connu un recul des ventes au premier trimestre de 2022. Le ralentissement a été plus important dans les RMR du sud de la province, telles que Sherbrooke (-22 %), Montréal (-16 %), et Gatineau (-15 %). À Québec (-13 %), Trois-Rivières (-11 %) et Saguenay (-6 %), les replis ont été plus modérés.
  • Les régions localisées à l’extérieur des régions métropolitaines ont, elles aussi, connu une baisse des transactions, que l’on note plus importante qu’en 2021. Les ventes résidentielles, toutes catégories confondues, ont diminué de 20 % dans ces régions. Les transactions d’unifamiliales en baisse de 21 % ont représenté la majorité de cette diminution, mais les autres catégories résidentielles ont aussi connu des ralentissements (-16 % pour les copropriétés et -6 % pour les plex).
  • Plus localement, certaines agglomérations ont vu une augmentation des ventes, mais de telles observations sont plutôt rares dans la province. Drummondville a connu la plus forte augmentation, avec un gain de 11 %. Rivière-du-Loup (1 %) a aussi vu ses transactions augmenter. L’agglomération de Rouyn-Noranda a suivi, avec une stabilisation du nombre de ses ventes. Les localités ayant vu leur activité transactionnelle diminuer ont été beaucoup plus nombreuses. Mont-Tremblant (-47 %) Rimouski (-38 %) et Sainte-Adèle (-38 %) se distinguent par des replis particulièrement importants pendant le trimestre.

Inscriptions en vigueur

  • Le nombre d’inscriptions en vigueur s’est établi à 21563 à l’échelle du Québec au premier trimestre de 2022, soit une diminution de 21 % comparée à la même période en 2021. Ce nombre d’inscriptions marquait un nouveau record à l’échelle provinciale et le douzième trimestre de repli consécutif des inscriptions. Outre la capitulation d’une frange de plus en plus importante d’acheteurs face au niveau des prix atteints, cette baisse en continu des inscriptions en vigueur contribue en grande partie au déclin des ventes, notamment pour les régions, secteurs et agglomérations où les conditions de marché sont les plus tendues, et ce, à l’avantage des vendeurs.

Prix

  • À l’échelle du Québec, le prix médian des unifamiliales s’est établi à 415444 $, soit un gain de 22 % comparé au premier trimestre de 2021. Ce prix représentait aussi une augmentation par rapport au quatrième trimestre de 2021, où le prix médian avait atteint 389 000 $.
  • Tendance similaire dans les copropriétés, où le prix médian s’est établi à 365000 $, une croissance de 20 % comparée à la même période l’an passé et un gain de 20 000 $ par rapport au quatrième trimestre de 2021.
  • Les petits immeubles à revenus (deux à cinq logements) ont connu la progression la plus importante de leur prix médian par rapport au premier trimestre de 2021, atteignant 520000 $, soit un gain de 25 %. Cette augmentation n’était toutefois pas aussi importante par rapport au trimestre précédent, où le prix médian avait atteint 511 005 $.

Conditions du marché et délais de vente

  • Les conditions de marché demeurent extrêmement favorables aux vendeurs, avec un nombre de mois d’inventaire de propriétés résidentielles se stabilisant à un niveau plancher historique à l’échelle provinciale.
  • Les délais de vente se sont encore une fois établis à des niveaux plus faibles qu’à la même période l’an passé, avec une diminution du délai moyen de 20 jours pour les unifamiliales. Comme pour le nombre de mois d’inventaire, on observe une certaine stabilisation par rapport au quatrième trimestre de 2021. Le délai de vente moyen des propriétés résidentielles au Québec avait atteint un plancher historique à 48 jours au deuxième trimestre de 2021, et demeure à un niveau similaire depuis, pour s’établir à 50 jours au premier trimestre de 2022, un niveau historique difficilement compressible.

Faits saillants régionaux

RMR de Montréal

  • Les ventes résidentielles ont diminué de 16 % au premier trimestre de 2022 dans la RMR de Montréal, toujours ralenties par les limites de l’inventaire de propriétés sur le marché. Ce ralentissement a touché tous les secteurs de la RMR. L’île de Montréal a connu la diminution la moins importante (-13 %) et la Rive-Nord a subi le repli le plus considérable (-21 %).
  • Les inscriptions en vigueur se sont maintenues à des niveaux très bas pendant le premier trimestre de 2022, atteignant 9 759 inscriptions pour la RMR, une diminution de 13 % par rapport au premier trimestre de 2021. Au niveau des catégories, les plex ont connu un léger regain, avec une croissance de 1 % des inscriptions comparée à l’an passé. La diminution des inscriptions d’unifamiliales semble s’être modérée au premier trimestre, avec un déclin s’établissant à 7 % pour la période. Du côté des copropriétés, qui avaient connu une demande un peu moins forte au début de la pandémie, on a observé une diminution de 22 % des inscriptions.
  • La pression sur les prix est demeurée forte au premier trimestre, avec une augmentation du prix médian des unifamiliales atteignant 20 %, comparée à 18 % pour les copropriétés et 14 % pour les plex.

RMR de Québec

  • La RMR de Québec a connu un nouveau repli des ventes au premier trimestre de 2022, représentant un déclin de 13 % des transactions par rapport au premier trimestre de 2021. Ce niveau d’activité demeure toutefois historiquement fort, ce qui a contribué à une nouvelle chute des inscriptions en vigueur, qui ont connu un repli de 33 % pour la période.
  • La demande pour les copropriétés a continué de mettre de la pression sur les inscriptions en vigueur, menant à une diminution de 44 % de ces dernières, et un niveau d’inventaire ayant tout juste passé sous la barre des quatre mois, les rapprochant des conditions de marché des unifamiliales, qui demeurent sous la barre des trois mois.
  • Dans un tel contexte de marché, les prix ont continué de subir des pressions à la hausse. Les différentes catégories résidentielles ont connu des gains similaires au premier trimestre de 2022 par rapport à la même période l’an passé. En effet, les unifamiliales ont vu leur prix médian grimper de 13 %, les copropriétés de 12 % et les petites propriétés à revenus de 11 %.

RMR de Gatineau

  • Le ralentissement des ventes a continué dans la RMR de Gatineau au premier trimestre de 2022. Les 1259 transactions résidentielles représentent une diminution de l’activité de 15 % par rapport à la même période l’an passé. Ici encore, la faiblesse de l’inventaire a eu un impact important sur la modération du niveau transactionnel et le niveau record de surenchères dans la région, le plus élevé au Québec, témoigne d’une demande encore importante dans le marché local.
  • Les conditions de marché historiquement serrées se sont maintenues au premier trimestre de 2022, avec le nombre de mois d’inventaire résidentiel demeurant à un niveau frictionnel, autour d’un mois et demi. Les inscriptions en vigueur se sont établies à 610 pour le trimestre, une baisse de 15 % par rapport au premier trimestre de 2021, en diminution comparée aux 627propriétés disponibles sur le marché au quatrième trimestre de 2021.
  • L’impact du maintien de ces conditions de marché sur les prix a été évident au premier trimestre de 2022. Le prix des unifamiliales s’est établi à 460 000 $, un gain de 24 % comparé à la même période l’an passé et une augmentation de plus de 40 000 $ comparée au dernier trimestre de 2021. Du côté des copropriétés, le prix médian s’est établi à 307000 $, un bond de 33 % par rapport au premier trimestre de 2021. Pour les plex, le bond des prix a été encore plus spectaculaire, le prix médian atteignant 543 250 $, 45 % de plus qu’au premier trimestre de 2021.

RMR de Sherbrooke

  • À l’instar du reste de la province, la RMR de Sherbrooke se heurte aux limites de son inventaire dans la majorité des catégories résidentielles. Les ventes totales de la RMR se sont repliées de 22 % au premier trimestre de 2022, principalement entraînées par le ralentissement des ventes d’unifamiliales (-22 %) et de plex (-30 %).
  • Malgré le ralentissement des ventes, les inscriptions en vigueur sont demeurées sous pression, avec un niveau de repli atteignant 28 % pour le secteur résidentiel. Dans les catégories résidentielles, les plex en particulier ont vu leur niveau d’inscriptions chuter de 55 % tandis que les unifamiliales ont diminué de 27 % et les copropriétés de 23 %.
  • Sans surprise, le contexte de marché a continué de mettre une pression haussière sur les prix. Le prix médian des unifamiliales a crû de 18 % comparé à la même période l’an passé. Le prix des copropriétés a de son côté gagné 15 %, et les plex ont connu une augmentation de 23 %.

RMR de Trois-Rivières

  • La RMR de Trois-Rivières a, comme la majorité des régions, connu un repli des ventes au premier trimestre de 2022. Le nombre de transactions résidentielles s’est établi à 397, soit une diminution de 11 % comparée à la même période l’an passé. Un ralentissement dans les ventes de copropriétés (-43 %) et de plex (-12 %) a été le facteur le plus important dans la RMR pour cette période, alors que les ventes d’unifamiliales n’ont connu qu’un léger recul (-1 %).
  • Les inscriptions en vigueur ont toutefois enregistré des diminutions plus marquées pendant le trimestre, ce qui pourrait être un facteur important pour le nombre de ventes dans les trimestres subséquents de 2022. Par rapport au premier trimestre de 2021, les inscriptions d’unifamiliales ont diminué de 21 %, celles des copropriétés de 48 % et celles des plex de 45 %.
  • Les conditions de marché résultantes de cette chute d’inventaire ont ici aussi généré des pressions à la hausse sur les prix. Le prix médian des unifamiliales a augmenté de 29 %, atteignant 265000 $. Ce prix s’était établi à 237 000 $ au quatrième trimestre de 2021. Du côté des copropriétés, on a observé une augmentation de 34 %, le prix médian atteignant 222 500 $, soit plus de 20 000 $ de plus qu’au quatrième trimestre de 2021. Les plex ont eu aussi vu leur prix augmenter, s’établissant à 231 750 $ (gain de 25 % par rapport à la même période l’an passé). Ce prix représentait toutefois une modération par rapport au quatrième trimestre de 2021, où le prix médian avait atteint 245 000 $.

RMR de Saguenay

  • La RMR de Saguenay a connu une diminution des ventes de 6 % au premier trimestre de 2022. Après avoir connu un début d’année particulièrement fort en 2021, La Baie a vu son niveau d’activité chuter plus rapidement que le reste de la région, avec une diminution des ventes atteignant 40 % au premier trimestre de 2022. Jonquière et Chicoutimi-Nord ont toutefois vu leur niveau transactionnel augmenter légèrement, avec des gains de 10 % et de 6 %, respectivement.
  • La chute continue des inscriptions en vigueur, qui se sont repliées de 34 % comparées à la même période l’an passé, a contribué au ralentissement dans le marché régional. Le nombre de mois d’inventaire s’est maintenu sous quatre mois au premier trimestre. Les unifamiliales, quant à elles, ont descendu sous la barre des trois mois d’inventaire pour la première fois depuis que les statistiques Centris sont compilées.
  • Les conditions de marché serrées ont continué d’exercer de la pression sur les prix dans la région au premier trimestre de 2022. Le prix médian des unifamiliales s’est établi à 231500 $, une croissance de 10 % par rapport au premier trimestre de 2021 et un gain de plus de 11 000 $ comparé au trimestre dernier. Les plex ont connu une augmentation plus importante, avec une croissance de 16 % pour la période.

Région de l’Abitibi

  • Le ralentissement des ventes a continué au premier trimestre, avec un nombre de transactions s’établissant à 337, une diminution atteignant -14 % par rapport à la même période en 2021. Comme pour le reste du Québec, la baisse des inscriptions en vigueur (-28 %) a contribué au ralentissement des ventes. Le prix des unifamiliales a toutefois connu une augmentation de 11 %, avec des gains plus importants à Rouyn-Noranda (13 %) qu’à Val-d’Or (8 %).

Région du Centre-du-Québec

  • Le ralentissement des ventes a été un peu plus important au premier trimestre de 2022 dans la région du Centre-du-Québec, avec un repli des ventes atteignant 9 %, toutes catégories confondues. La chute des ventes à Victoriaville (-28 %) y a joué pour beaucoup, alors que le niveau d’activité est resté stable à Drummondville. Les nouvelles inscriptions ont toutefois connu une légère augmentation par rapport au premier trimestre de 2021, avec un gain de 5 %. Les petits immeubles à revenus ont contribué à cette hausse des inscriptions avec une augmentation de 8 % des propriétés disponibles sur le marché. Le prix des propriétés a connu des gains plus élevés dans la région, avec une croissance des prix médians atteignant 26 % pour les unifamiliales et 18 % pour les plex.

Région de la Haute-Yamaska

  • L’agglomération de Granby a connu un ralentissement au premier trimestre, avec une diminution de 16 % des ventes résidentielles. Les copropriétés et les plex ont vu leur niveau d’activité diminuer plus rapidement que les unifamiliales pendant le trimestre, avec des replis de 25 %, 29 % et 10 % respectivement. Les hausses de prix ont continué dans la localité, mais ce sont les copropriétés qui ont connu la croissance la plus importante par rapport au premier trimestre de 2021, s’établissant à 301500 $ de prix médian (51 % de plus que l’an passé).

Région de Lanaudière

  • Les ventes de l’agglomération de Joliette sont demeurées ralenties par la faiblesse des inscriptions en vigueur au premier trimestre de 2022, avec un déclin total des ventes atteignant 8 % et des diminutions de plus de 15 % dans toutes les catégories résidentielles. Malgré la faiblesse des ventes, les inscriptions en vigueur ont diminué de 14 % par rapport à la même période l’an passé. Les hausses de prix, quoique n’atteignant pas les chiffres records du quatrième trimestre de 2021, ont bondi, avec un gain de 25 % pour les unifamiliales, comparé au premier trimestre de 2021.

Région des Laurentides

  • Le ralentissement des ventes a continué dans les Laurentides au premier trimestre de 2022, atteignant 27 %, toutes catégories confondues. Comme au quatrième trimestre de 2021, la tendance baissière des inscriptions en vigueur a contribué à la situation, avec un repli atteignant 22 %, comparé au premier trimestre de 2021. Le prix médian des unifamiliales a continué de battre des records dans la région. Ainsi, le prix médian des unifamiliales a bondi à Sainte‑Adèle et Sainte-Agathe avec des hausses respectives de 45 % et de 32 % pour atteindre des prix médians de 485000 $ et 375 000 $. Cependant, les autres agglomérations ont, elles aussi, vu leur prix médian augmenter très fortement. En effet, Mont-Laurier (25 %), Mont-Tremblant (22 %) et Saint-Sauveur (16 %) ont atteint des prix médians respectifs de 249 900 $, 499 000 $ et 513 500 $.

Région de Saint-Hyacinthe

  • Le ralentissement des ventes présent à travers le Québec n’a pas épargné la région de Saint-Hyacinthe au premier trimestre de 2022. Les ventes résidentielles ont diminué de 13 %. Les conditions de marché sont toutefois demeurées particulièrement serrées dans tous les segments de marché, continuant à mettre une pression à la hausse sur les prix. Ces derniers ont fait des bonds, pour toutes les catégories résidentielles, de plus de 20 % dans la région, en comparaison avec le premier trimestre de 2021.

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Information complémentaire :

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Renseignements :

Marie-Rose Desautels
Morin Relations Publiques
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